Côté français, à Saint-Georges de l’Oyapok, huit gendarmes et 40 militaires, qui sont intervenus sur plusieurs secteurs sensibles : Ouanary, Oyapok, Armotabo, Ekini, Tourepe, Camopi. Côté brésilien, quatre sections engagées entre Cleveland et Ihla Brasil.
De quoi s’agissait-il ?
De repérer et neutraliser d’une part les moyens mobiles des orpailleurs clandestins, d’autre part leurs caches logistiques. Comment ?
Par des patrouilles fluviales et terrestres combinées. L’intérêt de la coopération est que les orpailleurs clandestins étaient comme dans une nasse puisque les opérations étaient menées dans le même temps de chaque côté de la frontière.
Bilan : deux quads, treize pirogues, trois moteurs hors-bord, un motopompe, treize tonnes de matériels divers, sept tonnes de carburant, sept carbets.
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