Laissez-moi vous narrer les récents chapitres de cette épopée.
Les flots de la discorde :
En janvier 2025, les eaux paisibles du Syndicat Mixte de Gestion de l'Eau et de l'Assainissement de Guadeloupe ont été troublées par des vagues de mécontentement.
Les employés, tels des marins en pleine tempête, ont brandi la menace d'une grève, revendiquant notamment des améliorations concernant leur mutuelle.
Accalmie et retour au calme :
Après des négociations dignes des plus grandes traversées, un accord a été trouvé fin février 2025.
Les voiles de la grève ont été repliées, et les travailleurs ont repris leur poste, apaisant ainsi les tumultes qui agitaient le syndicat.
Naviguer vers des eaux plus claires :
Parallèlement, le SMGEAG a levé l'ancre vers de nouveaux horizons en lançant un Plan Pluriannuel d’Investissement accéléré pour la période 2024-2027.
L'objectif ?
Mettre fin aux tours d'eau d'ici la fin de l'année 2025, offrant ainsi à la population une distribution plus stable et fiable.
Les défis financiers, tels des récifs à éviter :
Cependant, la traversée n'est pas sans embûches.
En septembre 2024, l'État a suspendu certaines subventions, exigeant une gestion financière plus transparente.
Heureusement, après des ajustements, les aides ont repris leur cours, permettant au SMGEAG de poursuivre sa mission essentielle.
Ainsi, chers AMIS, le SMGEAG, tel un navire affrontant les caprices de l'océan, poursuit sa route, affrontant défis et tempêtes, mais toujours guidé par l'étoile de l'amélioration continue au service des Guadeloupéens.
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La Guadeloupe, perle des Antilles, où les alizés portent parfois des murmures d'inquiétude quant à certaines habitudes sociales , politiques ,enrichissement personnel.
Nous allons évoquer une tendance qui ce développe de jours en jours en Guadeloupe.
Solliciter sans agir, où les paroles remplacent les actes, pesant sur l'économie et les relations humaines.
Plongeons ensemble dans cette réflexion.
L'ombre de l'assistanat :
Certains observateurs pointent du doigt une "culture de l'assistanat" qui, selon eux, freinerait l'initiative personnelle et l'engagement actif.
Ils soulignent que cette mentalité peut conduire à un abandon des responsabilités individuelles au profit d'une attente excessive envers l'État, créant ainsi une dépendance nuisible au dynamisme économique.
Un frein aux relations humaines :
Lorsque l'attente de soutien supplante l'action personnelle, les relations interpersonnelles peuvent s'en trouver altérées.
La solidarité, essentielle au tissu social, risque de se transformer en ressentiment si l'équilibre entre donner et recevoir n'est pas respecté, menant à une érosion de la confiance mutuelle.
Vers une culture de l'action :
Pour contrer cette inertie, il est vital de promouvoir une culture valorisant l'initiative, la responsabilité et l'engagement.
Encourager l'entrepreneuriat, soutenir les projets locaux et reconnaître les efforts individuels peut insuffler un nouvel élan à l'économie guadeloupéenne et renforcer les liens sociaux.
En somme, bien que les aides soient parfois nécessaires, elles doivent être des tremplins vers l'autonomie plutôt que des entraves à l'action.
Cultiver un esprit d'initiative et de responsabilité partagée est essentiel pour le développement harmonieux de la Guadeloupe.
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