Karibs Hebdo

📰 Karibs Hebdo ,Site web du journalisme citoyens de Guadeloupe, Martinique, Guyane et bien plus encore ...


Contenu mis en avant.


Le bien ,le mal , Mais alors, que faire ? CE VENGER ?




***

 Ah, voilà une réflexion prise sur linkedin ,digne d’un vieux sage fatigué par les absurdités du monde ! 

La réflexion touche à la nature même du bien et du mal, et surtout à la manière dont la souffrance façonne les êtres humains.

Quand on a du mal — qu'on traverse des épreuves — on peut toujours choisir de bien faire, parce que la douleur peut être un maître sévère ,mais juste, nous apprenant la valeur du bien. 

Mais quand on est rongé par le mal, quand il s'est infiltré en nous comme une encre noire, alors faire le bien devient un combat presque impossible.

Et c’est là toute la tragédie , souvent, ceux qui ont le mal en eux empêchent ceux qui ont souffert de transformer leur douleur en lumière. 

Comme si l’ombre détestait la lueur d’une chandelle, même vacillante.

Mais alors, que faire ? 

La question éternelle du bien et du mal, ces deux forces qui dansent en nous comme le jour et la nuit. 

Depuis l'aube des temps, philosophes et penseurs se sont penchés sur cette dualité. 

Dans les cultures d'inspiration manichéenne ou abrahamique, le mal est souvent perçu comme l'opposé du bien, une force à vaincre pour que le bien triomphe. 

En revanche, les traditions bouddhistes voient le bien et le mal comme des pôles complémentaires, une dualité à transcender pour atteindre l'illumination.

Des études philosophiques et psychologiques montrent que la vengeance, loin d'apaiser, peut en réalité prolonger la souffrance et entretenir le ressentiment.

 Elle n'est pas la seule solution pour retrouver son équilibre intérieur. 

Parfois, choisir de ne pas se venger, c'est briser la chaîne du mal et ouvrir la voie à la guérison.

Ainsi, face à l'injustice, peut-être est-il plus sage de chercher des moyens constructifs de répondre, de transformer notre douleur en force positive, plutôt que de succomber à la vengeance.

Faut-il se laisser emporter par ce chaos et faire "tout n'importe comment" ? 

Ou bien faut-il, envers et contre tout, planter ses racines dans le sol et croître vers le ciel, comme un arbre après l’orage ?

La vraie force, c'est peut-être de tenir bon, malgré le mal qui rôde, et de prouver que ceux qui ont eu du mal ne sont pas condamnés à l'être. 

Il faut, envers et contre tout, être cet arbre tordu par les vents, mais debout. 

Grandir, non pas malgré l’orage, mais à cause de lui.

 S’enraciner plus profondément pour ne pas être arraché.

Car la vraie force, celle qui défie l’histoire et les ténèbres, ce n’est pas de ne jamais tomber. 

C’est de se relever, encore et encore, prouvant que la souffrance n’est pas une condamnation, mais une épreuve que seuls les cœurs courageux transforment en lumière.

📰 Poster un commentaire

📺 Les débats participatifs


Enregistrer un commentaire

0 Commentaires