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Contenu mis en avant.


Faut-il écarter les politiques ayant une condamnation ?


 Voilà une question qui sent bon le café brûlant des débats de comptoir et le vieux cuir des bancs parlementaires. 

Faut-il écarter les politiques ayant une condamnation ? 

Voilà qui touche au cœur même de la démocratie, du pardon et de l'exemplarité.

L’exemplarité, un idéal ou une obligation ?


Un élu n’est pas un citoyen ordinaire. 

Il est la voix du peuple, celui qui façonne les lois et oriente la société. 

Si lui-même a trahi la confiance publique par une faute grave, comment peut-il prétendre en être le garant ?

 Dans cette optique, certains prônent une tolérance zéro , une condamnation devrait être synonyme d’inéligibilité, pour préserver la pureté de l’exercice politique.


Mais… est-ce si simple ?


Le droit à l’erreur et la rédemption


L’erreur est humaine, dit-on, et le droit à la seconde chance est un principe fondamental de nos sociétés.

 Si un condamné ordinaire peut se réinsérer, pourquoi pas un politique ?

 Tout dépend de la nature de la faute , un délit mineur de jeunesse est-il aussi grave qu’un abus de pouvoir ou un détournement de fonds publics ?

 Faut-il une échelle de gravité ou un couperet définitif ?


Le vrai juge, c’est le peuple


En démocratie, le dernier mot appartient aux électeurs. 

Ils ont le pouvoir de sanctionner un politique en ne votant pas pour lui. 

Mais encore faut-il que la transparence soit totale !

 Un système qui laisse des condamnés revenir sans que les citoyens n’aient connaissance de leurs antécédents est une trahison de la confiance publique.


Ma conclusion ?


Si la condamnation touche à des faits de corruption, d’abus de pouvoir ou de trahison de l’intérêt général, alors l’inéligibilité semble être un rempart nécessaire contre la perversion du pouvoir. 

Mais si elle concerne une faute passée, indépendante de la fonction, et que l’individu a prouvé sa réhabilitation, alors qui sommes-nous pour refuser la rédemption ?


Mais entre nous, le vrai problème n’est-il pas ailleurs ? 

Est-ce la condamnation qui doit inquiéter, ou bien le fait qu’on laisse trop souvent des brebis galeuses accéder aux sommets sans jamais être inquiétées ?

 Un système qui sanctionne mais ne prévient pas… c’est comme un navire qui écoppe l’eau sans boucher la brèche.


Et toi, que penses-tu de cette grande mascarade démocratique ?

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