Imaginez un sénateur, tel un chevalier des temps modernes, brandissant la question fatidique : « Où est passé l'argent ? »
Face à lui, une représentante de la Cour des comptes, gardienne des trésors publics, soudain démunie, cherchant ses mots comme on cherche des pièces égarées dans un labyrinthe de dépenses.
Ce n'est pas la première fois que l'on s'interroge sur la destinée de nos deniers.
Récemment, la Cour des comptes a publié un rapport pointant du doigt une « décentralisation inachevée » et une gestion des finances publiques laissant à désirer.
Les sénateurs, tels des vigies sur la mer agitée des budgets, ont exprimé leurs inquiétudes face à cette dérive financière.
De plus, le déficit public de la France a récemment dérapé, atteignant 5,6% du PIB, ce qui a poussé des figures comme François Lenglet à se demander où est passé l'argent public, notamment celui distribué à l'hôpital.
Ainsi, la question du sénateur résonne comme un écho des préoccupations actuelles : où s'évaporent ces fonds censés irriguer les services publics ?
Peut-être est-il temps de revisiter nos traditions de transparence et de rigueur, de redonner aux chiffres leur clarté d'antan, afin que plus jamais un serviteur de l'État ne soit réduit au bégaiement face à une question aussi essentielle.
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