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Comment appelle t on un régime qui choisit ses journalistes et les questions ?


 Un régime qui choisit ses journalistes et ses questions ? 

C’est la marque d’un pouvoir autoritaire, voire totalitaire, là où la liberté de la presse est réduite à un simple instrument de propagande contrôlée.


🗞️ Pourquoi ce comportement est si inquiétant

Chantage à la parole

Refuser de répondre à un journaliste , ici Frédéric Haziza, accusé par certains d’être provocateur ou agressif , ne relève plus du débat politique, mais d’un tri journalistique dicté par l’émetteur.

 Ce n’est plus comme un "panier" dans lequel on choisit ses fruits : c’est un filtre d’information, une mauvaise herbe qu’on arrache.


Contrôle de l’agenda

Imposer qui peut poser des questions et quels sujets sont abordables, c’est comme écrire avant le dessin , on limite le débat, on enferme la discussion. 

C’est un conditionnement, pas un échange.


Entrave à la démocratie

Dans une démocratie réelle, on écoute tous les journalistes , même ceux qu’on n’aime pas , car c’est par le choc des idées que s’affermit la vérité. 

Là, on assiste à un cloisonnement qui isole, segmente et entame la confiance collective.


🎯 Comment appelle-t-on cela ?

On peut parler de :


Autoritarisme : le pouvoir central impose sa ligne, sanctionne les voix dissonantes.


Propagande : la presse devient un relais sélectif au service d’un discours maîtrisé.


Censure sélective : on ne supprime pas tout, mais on « filtre » soigneusement, en écartant ce qui gêne.


En résumé poétique

C’est comme si l’Assemblée devenait un théâtre où seuls certains rôles sont autorisés à parler. 

Le peuple, spectateur, ne voit que la mise en scène que l’on veut bien lui offrir. 

Et les coulisses, invisibles, deviennent suspectes.


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