Le ministère justifie ces tablettes comme un moyen d’alléger la charge des surveillants et de réduire les tensions en détention.
Malgré les dispositifs censés être inviolables, encastrées dans des sarcophages métalliques, sans accès Wi-Fi ni ports activés, des détenus ont réussi à hacker ou décoller les tablettes pour les transformer en consoles de jeu ou écrans de streaming .
Sur TikTok, un certain « rotation_59 » se vante de regarder des clips rap sur YouTube et jouer au foot en ligne depuis sa tablette, proposant même contre 50 € un tutoriel pour débloquer les restrictions.
Selon certaines sources Reddit, la manipulation peut se faire avec un combo bouton power + volume pour réinitialiser l’appareil .
Face à ces détournements, le ministre Gérald Darmanin a suspendu le déploiement du programme le 13 mars 2025, ordonnant un audit rapide.
Les crédits restants — environ 60 à 65 millions d’euros, sont désormais gelés dans l’attente des conclusions.
Ces tablettes étaient une petite lumière numérique, promise pour fluidifier l’administration et cultiver un lien humain en détention.
Dans un monde idéal, outil de réhabilitation, elles s’annonçaient comme un pont vers l’extérieur 📜.
Mais ce pont s’est avéré fragile, un fil débranché, un bouton échappé et le pont shade en écran de divertissement, flirtant avec l’interdit.
L’intention généreuse a heurté la réalité de la débrouillardise carcérale.
« Un outil forgé pour soulager,
Une idée née pour souligner l’humanité derrière les barreaux,
Mais tout souffle d’innovation peut s’échapper hors du cadre,
quand la liberté, même bridée, trouve le chemin de contour ».
1 Commentaires
Les experts de la république ,a mon avis devraient retourner a l’école ou sur le terrain pour bûcher ...
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