Face à cette découverte, la sénatrice a reconnu sa responsabilité, expliquant avoir accepté de transporter une valise pour une connaissance sans en connaître le contenu, LA TECHNIQUE de la victimisation a l'antillaise .
Elle a souligné que ce type de service est courant dans les territoires d'outre-mer où les échanges de colis entre proches sont fréquents .
Elle s'est acquittée d'une amende de 4 900 euros et a accepté la destruction de la marchandise saisie.
Cette affaire met en lumière les pratiques douteuses ,informelles de transport de colis dans les territoires ultramarins, souvent motivées par des liens de solidarité et d'argent.
Cependant, elle rappelle également l'importance pour les représentants de la loi de faire preuve de discernement et de vigilance, afin de préserver la confiance du public et l'intégrité des institutions.
Dans un monde où les frontières entre le personnel et le professionnel peuvent parfois se brouiller, cette histoire nous invite à réfléchir sur les responsabilités inhérentes aux fonctions publiques et sur la nécessité d'une conduite irréprochable, même dans les gestes les plus anodins.
Conclusion .
T'es un simple citoyen tu vas direct en prison ,t'es un élus ,un représentant de l’État tu retourne aux affaires !
1 Commentaires
La chose qui me gêne dans cette histoire ,certains nous imposent des règles ,des lois que eux mêmes ne respectent pas ...
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