Constatant que la Guadeloupe occupe le triste trio de tête des régions au plus fort taux d’homicides par habitant, au plus grand nombre de vols avec armes ou avec violence par habitant et où le nombre de mis en cause pour usage de stupéfiants reste le plus élevé, j’avais tenu à adresser, dès le 8 février dernier, un long courrier
au ministre de l’Intérieur, demandant de détailler le quantum de moyens supplémentaires dont bénéficierait la Guadeloupe dans la lutte contre les trafics ainsi qu’un échéancier prévisionnel de déploiement.
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